C’est un fait maintenant établi : le coronavirus attaque plusieurs organes chez l’être humain. Mais les personnes qui décèdent meurent parce que leur système respiratoire se nécrose sous les attaques du virus.
La spécialiste Karine Lacombe a récemment déclaré que cette maladie est plus une maladie du système immunitaire qu’une maladie simplement virale.
Autrement dit, les gens ne meurent pas à cause du virus en lui-même mais parce que leur propre système immunitaire s’affole et auto-détruit en quelque sorte leur système pulmonaire.
Un peu comme le fait une maladie dite auto-immune comme le sont le diabète de type 1 ou la maladie d’HASHIMOTO ou la maladie de CROHN. Le coronavirus est différent puisqu’au départ il s’agit d’un virus mais il agit comme une autodestruction de la personne sur elle-même au travers du système immunitaire.
Ce qui m’intéresse aujourd’hui et ce que je voulais partager c’est une remarque tirée de ce qu’on appelle le décodage biologique.
En thérapie on cherche à comprendre le message que le corps veut nous adresser au travers de nos pathologies ; on dit « le corps parle ».
C’est aussi le cas quand un virus nous attaque et se sert de nos faiblesses pour nous parler.
Pourquoi certaines personnes meurent de ce virus et pas toutes les personnes atteintes ? Pourquoi certaines personnes ont-elles des défenses immunitaires plus adaptées ? Pourquoi marginalement y-a-il des jeunes de moins de 30 ans qui décèdent de ce virus ?
Parfois il n’y a aucune explication criante, la personne n’ayant aucun problème ni cardiaque, ni pulmonaire, ni d’obésité détectés. Du moins c’est ce que disent les médecins qui restent perplexes devant la virulence de la maladie chez certaines personnes.
Bien entendu, les recherches scientifiques nous en diront plus sur ce virus notamment pourquoi il attaque moins les femmes, moins les rhésus o…Pourquoi il sévit plus dans certaines zones géographiques que d’autres…
Mais un paramètre n’est presque jamais pris en compte par la médecine occidentale :
LE TRANSGENERATIONNEL
En sophrologie et en psycho-généalogie nous travaillons sur le lien entre les traumatismes familiaux et les maladies. Ainsi nous avons pu remarquer que dans les familles où des traumatismes tels que des décès par tuberculose, étouffement (dans les chambres à gaz, par gaz moutarde dans les tranchées, ou par incendie) ou meurtre par asphyxie il reste des « mémoires » qui se transmettent génération après génération.
Dans certains cas les chercheurs ont même pu observer récemment des modifications de l’ADN dans les familles concernées ; modifications qui engendrent le développement de maladies typiques qui indiquent l’origine transgénérationnelle de la maladie.
Plus clairement si on possède un ancêtre qui a été gazé dans une tranchée, est mort ou a survécu avec des problèmes pulmonaires graves, il est possible que le traumatisme soit tel que les descendants en portent la trace dans leur corps sous forme d’une fragilité d’un organe voire d’une maladie. Dans cet exemple, les descendants peuvent être asthmatiques ou développer plein de problèmes pulmonaires. Ils seront susceptibles d’attraper plus facilement les maladies dites d’hiver (avec toux) ou des tuberculoses s’ils rencontrent le virus. Et ce même en ayant été vaccinés.
En psycho-généalogie on repère dans l’arbre les maladies récurrentes et on identifie l’ancêtre qui a été victime du trauma d’origine afin d’en libérer la mémoire. C’est le cas par exemple des viols, des incestes et de toutes les agressions.
Ce faisant on permet aux descendants de se porter mieux.
La psycho-généalogie permet aussi de travailler sur les maladies mentales qui se développent parfois d’une génération à l’autre sans réelle explication.
Une autre facette consistera à identifier les liens familiaux appelés loyautés invisibles qui nous poussent à ne jamais nous marier, ne jamais avoir d’argent, être incapable de garder un emploi ou un conjoint, ne pas avoir d’enfants etc…la liste n’étant pas exhaustive.
En traitant le traumatisme d’origine chez l’ancêtre par la libération de la mémoire, on permet à l’ensemble de la famille d’aller mieux.
Je vous invite à me contacter si vous avez envie de travailler dans ce sens sur votre famille.
Véronique Bathilde