Avec la crise sanitaire et le contexte économique actuel, le nombre de personnes atteintes de dépression explose.
Cette situation est alarmante car la dépression n’est pas une maladie anodine : elle peut s’inscrire dans la durée et poursuivre la personne une vie entière.
Le recours aux antidépresseurs peut aider à s’en sortir, un peu comme une béquille permet, à court terme, de marcher, après s’être cassé une jambe ; mais la plupart du temps il s’avère insuffisant car ce qui est le plus efficace à terme est d’apprendre à dépasser la maladie aux moyens de techniques spécifiques, disponibles à tous les moments de la vie. Et ainsi de devenir autonome pour traiter toute forme éventuelle de rechute.
Qu’est-ce que la dépression ?
Elle revêt 2 aspects :
- la perte de l’élan vital
- les pensées dépressives
La perte de l’élan vital se compose souvent de plusieurs problèmes rencontrés par la personne : troubles alimentaires (perte ou augmentation de l’appétit très importante et durable), du sommeil, somatisations diverses (problèmes de peau, de digestion, maux de tête, dos bloqué…) notamment. Cela peut aller jusqu’au développement de maladies, conduire à l’obésité ou à une grande maigreur. La personne se sent généralement épuisée et incapable de vaquer à ses occupations habituelles, autant personnelles que professionnelles.
Les pensées dépressives sont des pensées sombres où la chute de l’estime de soi s’exprime : la personne se dévalorise (« je suis nulle, je ne vaux rien… ») se culpabilise (« c’est ma faute si c’est arrivé ») et sa confiance en elle-même s’effondre. Progressivement elle peut aller jusqu’à se détester et ne plus s’accepter ; surtout si en plus son aspect physique change brutalement et qu’elle ne se reconnait plus (par suite de variations de poids notamment) entrainant une modification de son image.
La dépression qui s’installe et n’est pas correctement traitée peut devenir extrêmement dangereuse : elle peut entrainer la prise de produits (médicaments, drogues, cigarettes ou alcool de façon excessives pour oublier le mal être) ou des conduites à risques ; elle peut mener au suicide.
Parfois la personne devient mélancolique et souffre alors d’un état intérieur d’une grande tristesse devenu permanente. Et d’un manque total d’envie de vivre.
Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes ou si vous reconnaissez une personne proche de vous, je vous invite à me contacter sans tarder pour stopper le glissement avant qu’il ne soit trop installé.
Dans le cadre des besoins énormes qui apparaissent actuellement je personnalise ma tarification pour permettre à chacun de profiter de soins adaptés.
N’hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements.
Véronique Bathilde